Medical stethoscope twisted in heart shape

Filière Santé et Pharmaceutique

La santé connaît aujourd’hui une mutation profonde, du fait notamment de la montée en puissance du biomédicament (30% du marché pharmaceutique mondial), et si la France figure parmi les premiers pays européens en nombre d’entreprises développant des biomédicaments, les outils industriels de bioproduction font défaut. Ces capacités de production limitées poussent ainsi les entreprises à s’approvisionner de manière massive hors de France. 

La filière en chiffres

En France

production

271

Nombre de sites de production pharmaceutique en France en 2024  

employes

106 038

effectifs employés directement par les entreprises du médicament en France en 2022 

chiffre affaires

70 milliards €

total réalisé en 2022 par l’industrie pharmaceutique dont 48 % à l’export

position

5ème

Position de la France parmi les marchés pharmaceutiques mondiaux en 2022

En Ile-de-France et Seine-et-Marne 

production

10

sites de production pharmaceutique en Seine-et-Marne

employe

28 439

salariés de l’industrie pharmaceutique en IDF dont 2 700 en Seine-et-Marne

etablissements

1 595

établissements en Ile-de-France

employes

70%

des emplois dans l’ouest et le sud francilien

Les acteurs de la filière

Pôles de compétitivité

Institutionnels

Centres et instituts de recherche

Entreprises

Autres

Les enjeux nationaux de la filière 

La crise sanitaire et les récentes crises d’approvisionnement en médicament de base ont été révélateurs en ce sens, mettant en lumière la nécessité de retrouver une capacité de production en France en engageant une structuration de la filière santé et pharmaceutique et en capitalisant sur ses points forts : coopération entre acteurs institutionnels et privés, capacité à mobiliser des financements pour des projets de santé, utilisation de la donnée en recherche clinique et d’applications digitales à destination de la santé. 

Avec actuellement 8 biomédicaments fabriqués (contre 70 en Allemagne), la France a un retard important à combler avec un fort enjeu financier (certaines doses de biomédicaments valent 1 million d’euros à l’unité). Si près de 800 entreprises de biotechnologies sont actives en France, la filière est très morcelée et de véritables clusters doivent être constitués. Actuellement, 5 sont identifiables en France : génétique (Essonne), oncologie (Val-de-Marne), infectiologie (Lyon), immunologie (Marseille) et neurologie (Paris). C’est dans cette logique que l’association France Biolead a été créée en 2022 pour fédérer les acteurs publics et privés et structurer la filière. 

Faute d’une production nationale suffisante, la France est contrainte d’importer les médicaments, aussi bien d’usage courant comme le paracétamol ou l’amoxicilline que pour des traitements lourds (anticancéreux) ou des affections chroniques (insuline). La crise Covid-19 a aussi mis en lumière la nécessité de relocaliser la production de dispositifs tels que des respirateurs artificiels, des flacons ou des seringues. Les importations de médicaments ont augmenté en 2022 (+ 6 %) comme en 2021 (+ 14 %) ; 40 % des produits sont issus des productions d’Allemagne, des Etats-Unis, d’Irlande et de pays d’Asie comme la Chine ou la Corée du Sud. L’industrie de la santé française est vulnérable et se retrouve par conséquent fortement exposée aux chocs externes : tensions géopolitiques, défaillance de production de pays exportateurs, défaillance d’une entreprise à impact fort sur l’ensemble de la chaîne de valeurs, etc. Il y a donc là un fort enjeu de réduction de notre dépendance et de reconquête de notre souveraineté stratégique en matière de production pharmaceutique, notamment en Ile-de-France. La France dispose en effet de tous les atouts, notamment les savoir-faire et compétences mais il est nécessaire maintenant d’assurer la maîtrise de la chaîne d’approvisionnement et de diversifier les capacités de production sur l’ensemble du territoire national. 

Localisation de la production des nouveaux médicaments autorisés en Europe (2017-2022) 

graphique sante

Plusieurs enjeux pour la filière : 

  • Sortir de la mono-production  

Si la France dispose d’une capacité de production importante (271 usines de production pharmaceutique dont 10 en Seine-et-Marne), cette dernière est essentiellement centrée sur la production secondaire (formulation et conditionnement) et non primaire (principes actifs). Ainsi, hormis Sanofi, Pierre Fabre ou Servier, qui produisent leurs principes actifs en interne, la grande majorité des acteurs en France sont largement dépendants des importations (principalement asiatiques) pour leurs approvisionnements.  

Outre le type de production, on observe également des difficultés structurelles liées à la taille des entreprises de production pharmaceutique : 50 % sont des PME et de nombreux producteurs sont positionnés sur la fabrication de génériques, très bon marché.  

  • Développer le nombre de biomédiaments industrialisables  

Si la France figure parmi les premiers pays européens en nombre d’entreprises développant des biomédicaments, l’Hexagone manque d’outils industriels de bioproduction pour permettre à ces entreprises de produire sur le territoire national. Il existe quelques sites de bioproduction (anticorps, thérapie cellulaire et génique), mais la France compte toutefois très peu de façonniers, dits CDMOs (« Contract Development and Manufacturing Organization » – entre 400 et 600 personnes en France avec une présence marginale en Ile-de-France) effectuant de la production pour tiers. Il est par conséquent nécessaire d’augmenter les investissements pour assurer le développement de l’outil industriel et des technologies de rupture associées dans leur processus de fabrication comme sur le contrôle qualité. 

Intégrer : Carte sites bioproduction France-1.png 

Le segment de la bioproduction est investi par de nombreuses start-ups, mais ces dernières font face à 4 problématiques principales dans leur développement : 

  • le manque de CDMO en Ile-de-France et en France : la majorité d’entre elles doivent travailler avec des entreprises européennes (Italie, Belgique, Suisse) ou nord-américaines ; 
  • des relations complexes entre les CDMO et les start-ups : les CDMO vont favoriser des entreprises pharmaceutiques plus matures ; 
  • les start-ups travaillent à la fois sur l’innovation du biomédicament et sur son processus de fabrication. Hors, les CDMO, qui contrôlent le processus, éprouvent encore des réticences à travailler en partenariat avec les équipes de start-ups. 
  • les start-ups cherchent des CDMO en capacité de produire aussi bien les lots pré-cliniques que les lots commerciaux. Mais ces structures sont encore relativement rares (on peut citer Ypokesi, implantée au Genopole, qui est une CDMO capable de produire tous les lots). 
  • Identifier très tôt dans le développement par les industriels des process de fabrication, le contrôle qualité et la réglementation 

Les grandes étapes d’un médicament 

grandes etapes medi
Leem

Focus

Les projets de relocalisation de médicaments en Europe restent à ce jour encore limités et des mouvements dans la filière inquiètent les autorités françaises et européennes : abandon par le producteur français EuroAPI de la production de 13 principes actifs en Europe d’ici 2027 (deux usines menacées de fermeture en Italie et au Royaume-Uni), volonté de Servier de céder sa filiale française de génériques Biogaran avec un passage potentiel sous pavillon indien.  

En avril dernier, le ministre Roland Lescure annonçait le lancement de l’Alliance des Médicaments Critiques à Bruxelles afin de compléter des mesures déjà prises à l’échelle européenne (mise en place d’un PIIEC santé piloté par la France pour le financement de 40 projets de production de médicaments, mise en place d’une autorité européenne de préparation aux crises sanitaires en 2021 – HERA, etc.).  

Cette nouvelle initiative française a pour objectif de rassembler les pays européens autour d’une ambition de relocalisation de la production des médicaments critiques pour assurer le bon fonctionnement du système de santé.   

Axe 1 : détection des signaux de tension et plan d’action gradué face aux tensions d’approvisionnement et de pénuries 

• Obligation pour les industriels de signaler toute rupture ou risque de rupture de stock 

• Surveillance renforcée par l’ANSM des médicaments essentiels 

• Gestion spécifique des produits saisonniers 

• Plan blanc pour une réponse graduée face aux pénuries 

• Coordination des actions de l’établissement pharmaceutique de l’AP-HP 

Axe 2 : nouvelles actions de santé publique pour améliorer l’accès aux médicaments 

• Transparence et optimisation de la liste des médicaments d’intérêt thérapeutique majeur 

• Anticiper, communiquer et faciliter la prescription et la dispensation des alternatives thérapeutiques des médicaments essentiels 

• Renforcer les mesures de bon usage des médicaments essentiels (dont antibiotiques) 

• Mettre en place des études d’évaluation de pertes de chances en cas de pénurie de certains médicaments essentiels 

• Contribuer à un renforcement du cadre européen pour les obligations imparties aux industriels concernant les médicaments essentiels 

Axe 3 : nouvelles actions économiques pour améliorer la disponibilité des médicaments 

• Pour une réponse industrielle : relocalisation 

• Poursuivre les travaux sur les procédures d’achats et procédures logistiques pour sécuriser l’approvisionnement en établissements de santé 

• Pour une réponse coordonnée au niveau européen : Critical Medicines Act 

• Favoriser le maintien sur le marché des médicaments matures 

Axe 4 : transparence de la chaîne d’approvisionnement : l’information jusqu’au patient 

• Renforcer l’information des prescripteurs en intégrant l’information de la disponibilité des médicaments dans les logiciels d’aide à la prescription 

• Renforcer les obligations d’information de l’ensemble de la chaîne du médicament et son pilotage 

• Information directe des patients au moment de la dispensation via des messages d’information standardisés (durée de la tension, causes) 

• Outils de la distribution pour une meilleure répartition des médicaments 

• Tableau de bord hivernal 

L’écosystème francilien de la filière santé et pharmaceutique 

La santé fait partie des filières stratégiques identifiées par la Région Ile-de-France dans le cadre de son SRDEII (Impact 2028), qui compte notamment parmi ses objectifs celui de favoriser l’émergence ou l’implantation d’une CDMO (Contract Development Manufactured Organisation – sous-traitant pharmaceutique ayant pour cœur de métier la fabrication et le conditionnement de médicaments à échelle industrielle) en Ile-de-France. La région présente un écosystème important sur la filière :  

  • Forte concentration d’institutions de recherche universitaires de renommée mondiale dans tous les domaines scientifiques (3 établissements de recherche parmi les 10 plus innovants au monde, 1ère en Europe pour le nombre d’essais cliniques en cours, 1ère en Europe pour le nombre d’entreprises opérant dans le secteur pharmaceutique) 
  • Plus grand réseau hospitalier d’Europe (AP-HP) 
  • 140 entreprises répertoriées en 2021, se répartissant pour moitié entre biothérapies et techproviders (fournisseurs de technologie) 
  • Une soixantaine des entreprises de biothérapies relèvent des activités de R&D (1/2 en biotechnologies). 

L’écosystème francilien est très concentré dans la Métropole du Grand Paris (MGP) avec ¾ des entreprises. En dehors de la Métropole du Grand Paris, près du quart restant est situé en nord-Essonne au sein du Genopole d’Evry et sur le plateau de Saclay. En matière de formation, on trouve notamment le campus Biotech Digital, projet né fin 2020 pour accélérer la formation pour accompagner la transformation du secteur, qui est pilotée par un consortium industriel associant bioMérieux, Novasep, Sanofi et Servier et qui regroupe un écosystème national : écoles et organismes de formation en biotechnologies, grandes entreprises du numérique (Atos, IBM, Microsoft). Le projet s’appuie sur des relais territoriaux et un centre de design et d’expertise situé sur le site de Sanofi à Vitry. 

En Seine-et-Marne, la filière est insuffisamment développée mais présente un potentiel important sur le volet de l’industrie biopharmaceutique compte-tenu de ses ressources en matière de R&D et de ses disponibilités foncières importantes. La présence du pôle de compétitivité Genopole (1er biocluster de France) à Evry est un atout important pour le territoire, et le Département peut également s’appuyer sur des acteurs de la filière tel que le pôle de compétitivité Medicen, en lien avec le Comité Stratégique de Filière des Industries et Technologies de Santé. 

carte Industrie sante IDF x
BIO logo

(Mitry-Mory) 

Leader mondial de la fabrication et distribution de produits et solutions innovantes destinés aux marchés de la recherche en sciences de la vie et du diagnostic médical, cette entreprise américaine fournit aux chercheurs universitaires et industriels des instruments, des logiciels, des consommables, des réactifs dans les secteurs de la biologie cellulaire, la génomique, la protéomique, la découverte de médicaments, la sécurité alimentaire et l’environnement. Premier fournisseur mondial de produits et de services de pointe sur le marché du diagnostic in vitro, BioRad est un acteur majeur de la détection des virus sanguins, du groupage sanguin, de la surveillance du diabète, de la recherche de maladies auto-immunes et du dépistage des maladies infectieuses. Son siège social français est situé à Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine). En plus du site de Mitry-Mory, elle exploite 2 autres sites en France, à Gémenos (Bouches-du-Rhône) et Steenvoorde (Nord). 

LGV logo

(Dammarie-les-Lys)

Les Laboratoires Galéniques Vernin (LGV) sont l’entité de production des laboratoires Mayoly Spindler, laboratoire français, indépendant et international de référence dans les domaines de la gastroentérologie et de la dermo-cosmétique, présent dans plus de 70 pays. Expert du façonnage dans les domaines pharmaceutique, nutraceutique et cosmétique, Mayoly Spindler est doté de ses propres outils de production répartis sur 3 sites de production en Ile-de-France, dont 2 à Dammarie-les-Lys (LGV et LGV Cosmétique). 

aenitis logo

(Mitry-Mory) 

Leader mondial des innovations de bioproduction par l’utilisation de l’acoustophorèse, soit l’utilisation des forces de radiation acoustique visant la manipulation et la préparation des cellules en thérapies cellulaires et géniques. La société est issue de la valorisation de technologies développées par l’ESPCI Paris – PSL et le CNRS (en « spin-off »). Elle fait partie des 8 lauréats de l’AAP France 2030 « Grand défi biomédicament » clôturé en février 2022, pour son projet « ASMA » (2,3 M€ de subventions) visant à améliorer le rendement à échelle industrielle ou pharmaceutique des médicaments de thérapie innovante (MTI). 

carestream

(Croissy-Beaubourg) 

Entreprise américaine implantée à Croissy-Beaubourg, Carestream Dental fournit des solutions et des technologies cloud pour les cabinets dentaires, notamment l’imagerie 3D, l’imagerie céphalométrique et panoramique mais aussi des outils tels que des caméras, des capteurs RVG. L’objectif est de maximiser la pratique par l’intelligence artificielle.

biobank logo

(Lieusaint) 

Première banque française d’allogreffes osseuses (greffes d’origine humaine), l’entreprise intervient comme une banque de tissus, du recueil des têtes fémorales jusque la transformation des greffons osseux 

lewis

(Nemours) 

Lewis Industrie fabrique des pièces en tôlerie de précision pour l’industrie médicale (pièces pour radiologie dentaire, pièce inox analyse de sang, pièce inox pour filtration et purification d’eau, fabrication de mobilier médical, pièces optiques, fabrication de pièce pour matériel de nettoyage). 

Pentaferte

(Villeparisis) 

Pentaferte est une entreprise intervient dans la distribution exclusive sur le territoire national de dispositifs médicaux pour des industriels fabricants européens. L’entreprise intervient sur 3 champs : un pôle « étude-expertise-réalisation » de différents dispositifs en OEM et appareillages « clé en main », les pompes à perfusion ambulatoire et les dispositifs médicaux à usage unique de perfusion et d’urologie de marque PENTA®. Le siège est implanté à Villeparisis et l’usine se trouve en Italie. 

Novair

(Compans) 

Novair a implanté sa plateforme logistique internationale à Compans pour sa proximité de l’aéroport Paris Charles de Gaulle et de son usine de Roissy-en-France. L’entreprise expédie dans le monde entier des systèmes de génération d’oxygène médical. 

SEINE-ET-MARNE BIOPHARMA 

(Serris) 

Seine-et-Marne Biopharma est une société créée en 2023 spécialisée dans la fabrication de préparations pharmaceutiques. 

cooper logo

Coopération pharmaceutique française 

COOPER est un laboratoire pharmaceutique crée en 1907 en Seine-et-Marne. Aujourd’hui Cooper fabrique et distribue ses produits à plus de 20 000 officines, hôpitaux, cliniques et laboratoires chaque année en France. Cooper dispose de 2 sites de production (600 salariés) en Seine et Marne qui assurent la fabrication et le conditionnement de liquides, pâteux ou buvables aux différents statuts (AMM, DM, Biocides, matières premières ou cosmétiques). En complément de ses activités, Cooper a développé une activité spécifique de distribution de matières premières à usage industriel pour les secteurs Pharmaceutiques, Alimentaires et Cosmétiques. 

Genopole est un biocluster de réputation mondiale. Il est dédié à la recherche en génomique, génétique et aux biotechnologies. Il a été créé en 1998 à Evry et constitue une des forces de la communauté d’agglomération (CA) Grand Paris Sud.Il concentre 115 000 m² pour les laboratoires académiques, les entreprises, les porteurs de projet, les étudiants, 29 plateformes scientifiques, 16 laboratoires académiques, 96 entreprises et 2 500 emplois salariés directs dont 800 chercheurs. Sur le plan du développement économique, ses principaux objectifs sont l’essor des entreprises de biotechnologies et le renforcement de son positionnement à l’international. 

Son développement va générer la construction d’environ 10 000 m² de laboratoires et bureaux à l’horizon 2024. Ces extensions s’accompagnent de la constitution en cours d’un pôle de vie comprenant une résidence de chercheurs et l’ensemble des services de proximité nécessaires. Un enjeu à relever pour ce biocluster est l’amélioration du parcours résidentiel des entreprises tout en assurant la visibilité de l’offre immobilière. Baptisé GenoLife, ce programme proposera une offre locative de laboratoires (adaptée à la R&D, la bioproduction ou à la réalisation de tests). Plusieurs plateaux d’un total de 21 000 m² sont ainsi disponibles avec des bureaux, des espaces de réunions et des espaces de stockage. Les réservations sont déjà ouvertes (loyer de 340 €HT/m²/an) pour une ouverture courant 2026. 

La communauté d’agglomération Grand Paris Sud accueille plusieurs établissements de renom à commencer par l’ETI Généthon d’environ 200 salariés qui développe des thérapies géniques pour des maladies génétiques rares. En mai 2019, la FDA américaine autorisait la mise sur le marché d’un médicament de thérapie génique développé par Novartis pour lequel Généthon a eu un rôle déterminant. Spin-off de Généthon, YposKesi, créée en 2016, est un leadeur européen pour le développement et la production de produits de thérapies géniques et cellulaires. En juin 2019, YposKesi a été sélectionné par Servier pour développer et produire un médicament de thérapie génique contre le cancer. Sebia est spécialisée dans le domaine de la production d’instruments médicaux et de réactifs pour diagnostics in-vitro. C’est un acteur majeur de l’électrophorèse. Sebia est situé à Lisses et compte environ 250 salariés. 

Événements

pharma

PharmagoraPlus
9 – 10 mars 2024
Paris

+ 7 000 pharmaciens
+ 5 000 partenaires de la profession
Formations, ateliers

Medicen

Medicen Day
1 octobre 2024
Paris

 Rdv annuel du réseau francilien de l’innovation en santé ; conférences et ateliers

Vous portez un projet d’implantation en lien avec la filière santé et pharmaceutique ? N’hésitez pas à consulter Seine-et-Marne Invest, la plateforme de référencement du foncier et immobilier d’entreprise en Seine-et-Marne, ou à nous contacter directement. 

Partenariats en cours avec le Département 

Medicen

Créé en 2005, Medicen Paris Region est le pôle de compétitivité santé de la Région Île-de-France. Son réseau unique fédère plus de 510 acteurs de l’innovation en santé parmi lesquels 430 startups et PME de la healthtech, les industriels de la santé, les principaux instituts de recherche nationaux et établissements de soins du territoire francilien. 

Dispositifs de financements
nationaux ou régionaux

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